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Installée dans un magasin de thé du camp de Kutupalong, au Bangladesh, Bibi Jan tire sur ses manches. Elle tente de dissimuler les cicatrices laissées par les coups de couteau qu’elle a reçus lors du plus important épisode de violences contre les Rohingyas, qui a eu lieu au Myanmar en août 2017. Deux ans plus tard, elle nous raconte les événements qui l’ont forcée à fuir au Bangladesh. Le village de Bibi Jan a été ...