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Quelque quatre-vingt personnalités de la gauche et des Verts demandent au Conseil fédéral de suspendre toute coopération économique, et de veiller à la protection des droits humains sur place. La démission forcée du président Evo Morales, selon eux, est un coup d’Etat. La mansuétude de la communauté internationale à l’égard du nouveau pouvoir bolivien choque de nombreux politiciens suisses. Dans une lettre ouverte adressée ce jour aux médias et au Département fédéral des affaires étrangères (DFAE), quelque quatre-vingt élus et anciens élus de gauche et des Verts, principalement genevois et tessinois, dénient toute légitimité au «gouvernement de facto» de Jeanine Añez, ...