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Emilie
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Message non lupar Emilie » mer. avr. 06, 2005 10:57 pm

Comme la coutume le veux je me présente : étudiante en master (DEA) en géologie et membre de l'association CEMEA dans laquelle je suis (une toute jeune) formatrice d’animateur BAFA. Je ne suis pas se qu’on pourrais appeler une véritable scientifique. En effet c’est mon désir d’informer les populations (celles qui en on le besoin) sur les risques environnementaux qui m’y ont conduit. Permettre au gens de vivrent où ils veulent en toute connaissance de cause, cela me parais être un droit fondamental. Bien que je sois consciente que des droits encore plus vitaux ne soit déjà pas un du pour tous (droit de disposer de son corps, droit a la dignité, droit a l’éducation, bien que se dernier tend vers ce sens). La diffusion d’informations sur les risques volcaniques m’intéresse réellement. Je me suis donc orienté vers la volcanologie.

Après avoir discuter avec des personnes qui sont engagées dans l’humanitaire, avec des volcanologues, et également en me servant de se que ma apporté, en terme de réflexion sur l’autre, l’association des CEMEA j’ai évoluée dans ma vision. Je ne sais pas si mes conclusions sont une réalité définitive, elles sont plutôt représentatives de ma réflexion au jour d’aujourd’hui (donc non figées) : l’humanitaire dans les conditions les plus extrêmes (engagement totale dans les pires conditions matériel et émotionnel) me semble être réalisables même pour la personne la plus armée que temporairement (au maximum 3 ans). Le sociale et l’humanitaire à plus « bas degré » (si l’on peu parler de degrés) me semble eux pouvoir être des engagements à plus long terme.

Es-ce que le désir de venir en aide est male sein ? Je crois que tous ceux qui veulent se lancer dans cette voie le fait d’abord pour soit (l’homme est naturellement égocentrique) puis pour les autres. Pour moi avoir conscience de cela est sein. Un être qui se fait du bien est plus apte à aider les autres. Rejeter cet « enrichissement partagé » est interrogent sur les motivations de la personne. On a tous besoin des autres. Celui qui se considère instruit et qui veux communiquer son savoir (théorique, humain, …) de façon unilatéral a des yeux qui ne veulent pas voir et a certainement peur de se confronter a lui-même. La belle communication unilatérale qui est si fréquente dans notre société (école, médiat, etc ..) porte déjà dans son nom la preuve de son absurdité. Quand il n’y a qu’un émetteur peut ton appeler cela de la communication ? Il ne s’agit même pas d’un dialogue. Donner s’en accepter de recevoir va dans le sens contraire de toute enrichissement (dans les deux sens). Nous orientaux nous nous comportons parfois pas mieux que les anciens colonialistes (en tout cas la plus part du temps). Je ne veux pas que l’on me tape dans le dos en me dissent que je veux me dévouez au autre et que cela est bien. Je ne veux pas me dévouer au autres, je ne veux pas renier mes besoins pour être quelqu’un de bien, je veux m’enrichir au contacte des autres et enrichir les autres.

Je ne fais pas le procès de l’homme j’essaye juste de poser mes idées pour prendre du recule afin de me remettre en cause. ET SURTOUT j’espère que d’autres personnes vont me faire partager leurs points de vue. Cela me permettra de continuer à construire cette réflexion.

Plusieurs autres question se pose à moi : pourquoi voulons nous que toutes personnes vivent dans, et comme, ce qui nous parait nécessaire. N’oublions pas que notre confort nous a rendu dans certains cas dépendant et fragile. Nos grands parents et parents vivaient avec moins de confort et étaient heureux. Ce n’est pas à nous de juger ce qui est bon pour les autres. Si un africain (ou quiconque d’autre) est heureux de vivre de peu (je ne parle pas de toutes ses personne sans droit fondamentaux, qui ne mange pas à leurs faim et ne dispose pas de leurs corps et esprit, n’oublions pas que toutes personnes qui vivent dans les pays en « voie de développement » ne sont pas toutes malheureuses. Bien que trop le soient). Nous devons permettre à ces personnes de pendrent en mains leurs pays et eux même, afin que chaque un puisse avoir le choix. Même si les choix pris ne sont pas se que nous aurions pris. Pourquoi cela nous est t-il si difficile ?
Une deuxième interrogation. Pourquoi es-ce que l’on est capable de se mobiliser (selon nos capacité) lors d’événements catastrophiques et brutaux (comme le tsunami)alors que nous oublions les morts du sida (qui atteignent le même nombre par mois) et les fermons les yeux sur nos compatriotes sans abri ?

Quand à la volcanologie et le monde scientifique voila se qu’il mon permit de prendre conscience (je crois que c’est applicable pour pas mal des risques naturelles) : tout d’abord il faut savoir que seule les pays a fort pouvoir d’achat possèdent le dernier crie en matière de prévention (et encore qu’en le nombre de victime est « rentable »). Que entre les scientifiques et les gouvernements ou autorités locales il n’existe pas d’intermédiaires pour assurer la vulgarisation. Encore moins en vers la population. Ceci est plus ou moins prononcé selon les pays. En effet seuls les scientifiques qui prennent sur leurs temps personnel (il y en a ouf !!) bouchent ce trou par différant moyens de communication, et BIEN sur toutes les associations locales. Une autre réalité : les pays dépourvus, ou peu pourvus, de projet de préventions des phénomènes naturelles (par exemple l’Indonésie) sont en grandes majorité des pays où les victimes du a ces catastrophes sont « ridicules » comparés avec les morts de faim, de maladie, etc. Comment instaurer des plans « pour mieux vivre » avec les phénomènes naturels alors que l’argent et les hommes manque pour lutter contre des fléaux bien plus dévastateurs. Où mètre les priorités.

J’ai envie de porter ma pierre pour permettre que ce monde soit plus acceptable et apprendre des autres. Je ne suis pas médecin, infirmière, ingénieur ou religieux. J’ai une formation scientifique et possède une grande confiance en l’homme même si parfois l’actualité montre le contraire. Mon désir actuel est d’apprendre, de travailler en équipe, et de porter sur le terrain un projet. Réfléchir sur des moyens de communications, de les adapter au publique, utiliser touts les savoir disponibles d’où qu’ils viennent et mesurer sur le terrain la validité du projet afin de mieux l’adapter, l’enrichir et rencontrer les intéresser. Voila ce qui me donne envie. Je suis consciente que cela ne se fera pas du jour au lendemain, je suis prête à passer du temps pour apprendre et comprendre.

Je vous remercie d’avoir pris le temps de lire ce texte peut être un peu long. Si vous souhaitait me faire un retour que vous soyez dans mon cas ou déjà « incluse » dans ce monde de l’humanitaire et sociale, voila mon mail : milou_Ka@yahoo.fr.


Voici quelques paroles d’une grande dame que je veux vous faire partager :

"Tout être humain peut se développer et même se transformer au cours de sa vie. Il en a le désir et les possibilités. " Gisèle de Failly.

"Tout être humain, sans distinction de sexe, d’âge, d’origine, de convictions, de culture, de situation sociale a droit à notre respect et à nos égards. " Gisèle de Failly.


Invité

Re: besoin de partager, de renseignements et de conseils;

Message non lupar Invité » jeu. avr. 07, 2005 7:25 pm

Tout d'abord, je te souhaite la bienvenue sur le forum ! J'espère que tu continueras à poster de temps en temps !! :wink:

Je te mets les quelques commentaires et réactions suite à ton message en rouge :
Emilie a écrit :Comme la coutume le veux je me présente : étudiante en master (DEA) en géologie et membre de l'association CEMEA dans laquelle je suis (une toute jeune) formatrice d’animateur BAFA. Je ne suis pas se qu’on pourrais appeler une véritable scientifique.

Que considères-tu comme étant un ou une véritable scientifique ??

En effet c’est mon désir d’informer les populations (celles qui en on le besoin) sur les risques environnementaux qui m’y ont conduit. Permettre au gens de vivrent où ils veulent en toute connaissance de cause, cela me parais être un droit fondamental. Bien que je sois consciente que des droits encore plus vitaux ne soit déjà pas un du pour tous (droit de disposer de son corps, droit a la dignité, droit a l’éducation, bien que se dernier tend vers ce sens). La diffusion d’informations sur les risques volcaniques m’intéresse réellement. Je me suis donc orienté vers la volcanologie.

Effectivement, mais de toute façon tous types d'aide est utile !

Après avoir discuter avec des personnes qui sont engagées dans l’humanitaire, avec des volcanologues, et également en me servant de se que ma apporté, en terme de réflexion sur l’autre, l’association des CEMEA j’ai évoluée dans ma vision. Je ne sais pas si mes conclusions sont une réalité définitive, elles sont plutôt représentatives de ma réflexion au jour d’aujourd’hui (donc non figées) : l’humanitaire dans les conditions les plus extrêmes (engagement totale dans les pires conditions matériel et émotionnel) me semble être réalisables même pour la personne la plus armée que temporairement (au maximum 3 ans). Le sociale et l’humanitaire à plus « bas degré » (si l’on peu parler de degrés) me semble eux pouvoir être des engagements à plus long terme.

Es-ce que le désir de venir en aide est male sein ? Je crois que tous ceux qui veulent se lancer dans cette voie le fait d’abord pour soit (l’homme est naturellement égocentrique) puis pour les autres. Pour moi avoir conscience de cela est sein.

Sur ce point je ne suis pas d'accord. Je pense, qu'outre les gens dont tu parles, il en existe d'autres, peut être moins nombreux je te l'accorde, qui n'aide pas les autres pour soi, mais seulement et uniquement parce qu'ils sont comme cela. Ils pensent avant tous autres, naturellement et depuis leur plus jeune âge. Tu dis : "L'homme est naturellement égocentrique." Je n'ycrois qu'à moitié. Si effectivement la perception du monde existant est obligatoirement lié aux réalités physiques auxquelles l'homme est soumis (exemple : on perçoit le monde grâce à nos yeux, nos oreilles, etc.. et pas ceux d'un autre), je crois que par contre, sur un aspect social, de vie en communauté, il est dépandant des autres. Ce qui est antinomique au fait d'être égocentrique, je pense. A mon avis, tous les hommes à la base sont autant égocentrique que le contraire, et c'est par la suite, par l'éducation, les évènement vécus, qu'il tend à devenir égocentrique ou tourné vers les autres.

Un être qui se fait du bien est plus apte à aider les autres.

Sur ce point là, tout à fait d'accord avec toi !!

Rejeter cet « enrichissement partagé » est interrogent sur les motivations de la personne. On a tous besoin des autres. Celui qui se considère instruit et qui veux communiquer son savoir (théorique, humain, …) de façon unilatéral a des yeux qui ne veulent pas voir et a certainement peur de se confronter a lui-même. La belle communication unilatérale qui est si fréquente dans notre société (école, médiat, etc ..) porte déjà dans son nom la preuve de son absurdité. Quand il n’y a qu’un émetteur peut ton appeler cela de la communication ? Il ne s’agit même pas d’un dialogue. Donner s’en accepter de recevoir va dans le sens contraire de toute enrichissement (dans les deux sens).

Je suis d'accord sur le fait qu'un émetteur seul qui n'intéragit pas avec son récepeteur n'est pas vraiment communiquant. Par contre je prendrais l'image de la fontaine pour essayer de t'expliquer ce que j'ai en tête :
De l'eau jaillit d'une fontaine. Tout le monde est libre d'y boire ou pas. Je croit que même si l'échange est unilatéral, l'échange peut tout de même être positif.


Nous orientaux nous nous comportons parfois pas mieux que les anciens colonialistes (en tout cas la plus part du temps). Je ne veux pas que l’on me tape dans le dos en me dissent que je veux me dévouez au autre et que cela est bien. Je ne veux pas me dévouer au autres, je ne veux pas renier mes besoins pour être quelqu’un de bien, je veux m’enrichir au contacte des autres et enrichir les autres.

C'est là qu'il faut se poser une question : vais-je agir pour être perçu comme quelqu'un de bien, pour me sentir quelqu'un de bien, ou pour permettre à des gens qui actuellement n'ont pas la possibilité de se sentir bien de pouvoir accéder au bonheur ???

Je ne fais pas le procès de l’homme j’essaye juste de poser mes idées pour prendre du recule afin de me remettre en cause. ET SURTOUT j’espère que d’autres personnes vont me faire partager leurs points de vue. Cela me permettra de continuer à construire cette réflexion.

J'espère que tu aprécies mes commentaires ! :wink: :lol:

Plusieurs autres question se pose à moi : pourquoi voulons nous que toutes personnes vivent dans, et comme, ce qui nous parait nécessaire. N’oublions pas que notre confort nous a rendu dans certains cas dépendant et fragile. Nos grands parents et parents vivaient avec moins de confort et étaient heureux. Ce n’est pas à nous de juger ce qui est bon pour les autres.

D'accord avec toi !

Si un africain (ou quiconque d’autre) est heureux de vivre de peu (je ne parle pas de toutes ses personne sans droit fondamentaux, qui ne mange pas à leurs faim et ne dispose pas de leurs corps et esprit, n’oublions pas que toutes personnes qui vivent dans les pays en « voie de développement » ne sont pas toutes malheureuses. Bien que trop le soient). Nous devons permettre à ces personnes de pendrent en mains leurs pays et eux même, afin que chaque un puisse avoir le choix. Même si les choix pris ne sont pas se que nous aurions pris. Pourquoi cela nous est t-il si difficile ?

Le problème actuellement, c'est que tous le monde raisonne d'abord en termes économique, lois du marché, etc.. C'est le fruit du capitalisme que nous avons choisi de développer dans nos pays occidentaux. Si un certain degré de liberalisme peut avoir un effet positif, les excès auxquels nous sommes aujourd'hui confronté pourrait bien finir par faire chuter un système, qui finalement, malgré énormément de défauts, n'est pas si mauvais. Seulement il faut savoir rester mesuré en toute chose. Les extrèmes sont rarement intéressants. C'est mon avis. Pour en revenir à ta question, je te dirais que le souci est que des esclaves sont une meilleure main d'oeuvre (moins cher) que des hommes libres selon ces lois du marché. Seulement, on oublie bien souvent que des hommes libres et heureus ont aussi une force d'achat supérieur. D'ou ce qui se passe dans le monde : on crée et/ou maintient des zones en sous développement pour les exploiter et produire pour en revendre les fruits dans les zones dites "riches" et à fort pouvoir d'achat. Tout cela est absolument artificiel, et nous devrons un jour ou la'utre nous rendre compte qu'il faut abolir cette nouvelle forme de colonialisme et de servage.

Une deuxième interrogation. Pourquoi es-ce que l’on est capable de se mobiliser (selon nos capacité) lors d’événements catastrophiques et brutaux (comme le tsunami)alors que nous oublions les morts du sida (qui atteignent le même nombre par mois) et les fermons les yeux sur nos compatriotes sans abri ?

Réponse : lors du tsunami, on a eu l'impression de pouvoir agir, de pouvoir aider, de répondre à un phénomène précis et qui ne se prolonge pas dans la durée. Pour les autres problèmes dont tu parles, on a trop souvent l'impression de ne rien pouvoir y faire, que c'est une fatalité, qu'il faut bien qu'il y ai des gens chanceux et heureux et d'autres malheureux et miséreux. Or tout cela est artificiel, car comme l'explique Jean Ziegler dans son livre (que je lis actuellement), l'humanité aurait parfaitement les moyens de subvenir aux besoins de 12 milliards d'être humains. Nous ne sommes que la moitié de ce chiffres...

Quand à la volcanologie et le monde scientifique voila se qu’il mon permit de prendre conscience (je crois que c’est applicable pour pas mal des risques naturelles) : tout d’abord il faut savoir que seule les pays a fort pouvoir d’achat possèdent le dernier crie en matière de prévention (et encore qu’en le nombre de victime est « rentable »). Que entre les scientifiques et les gouvernements ou autorités locales il n’existe pas d’intermédiaires pour assurer la vulgarisation. Encore moins en vers la population. Ceci est plus ou moins prononcé selon les pays. En effet seuls les scientifiques qui prennent sur leurs temps personnel (il y en a ouf !!) bouchent ce trou par différant moyens de communication, et BIEN sur toutes les associations locales. Une autre réalité : les pays dépourvus, ou peu pourvus, de projet de préventions des phénomènes naturelles (par exemple l’Indonésie) sont en grandes majorité des pays où les victimes du a ces catastrophes sont « ridicules » comparés avec les morts de faim, de maladie, etc. Comment instaurer des plans « pour mieux vivre » avec les phénomènes naturels alors que l’argent et les hommes manque pour lutter contre des fléaux bien plus dévastateurs. Où mètre les priorités.

Les priorités sont à mettre dans l'ordre des priorités justement. Mais rien empêche à un endroit où certaines priorités ne sont plus un problèmes de s'attaquer aux problèmes suivants. Cela doit s'améliorer globalement en s'adaptant aux besoins de l'endroit dans lequel on se trouve à mon avis.

J’ai envie de porter ma pierre pour permettre que ce monde soit plus acceptable et apprendre des autres. Je ne suis pas médecin, infirmière, ingénieur ou religieux. J’ai une formation scientifique et possède une grande confiance en l’homme même si parfois l’actualité montre le contraire. Mon désir actuel est d’apprendre, de travailler en équipe, et de porter sur le terrain un projet. Réfléchir sur des moyens de communications, de les adapter au publique, utiliser touts les savoir disponibles d’où qu’ils viennent et mesurer sur le terrain la validité du projet afin de mieux l’adapter, l’enrichir et rencontrer les intéresser. Voila ce qui me donne envie. Je suis consciente que cela ne se fera pas du jour au lendemain, je suis prête à passer du temps pour apprendre et comprendre.

Je crois que c'est une bonne façon de mettre sa pierre dans l'édifice et je suis certain que tu y parviendras !

Je vous remercie d’avoir pris le temps de lire ce texte peut être un peu long. Si vous souhaitait me faire un retour que vous soyez dans mon cas ou déjà « incluse » dans ce monde de l’humanitaire et sociale, voila mon mail : milou_Ka@yahoo.fr.

Merci à toi d'écrire ! La communication, c'est dans les 2 sens ! :wink:

Voici quelques paroles d’une grande dame que je veux vous faire partager :

"Tout être humain peut se développer et même se transformer au cours de sa vie. Il en a le désir et les possibilités. " Gisèle de Failly.

"Tout être humain, sans distinction de sexe, d’âge, d’origine, de convictions, de culture, de situation sociale a droit à notre respect et à nos égards. " Gisèle de Failly.

ummite
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Message non lupar ummite » jeu. avr. 07, 2005 8:31 pm

ah, au fait, le message d'avant c'était moi ! :D

je me suis déconnecté pendant que je répondais !!! :shock:
"Peu importe qu'un seul combatte ou dix-mille. Quand on se rend compte qu'il faut lutter, la question n'est pas de savoir si l'on trouvera quelqu'un à ses côtés." Hans Fallada

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Message non lupar Chanceux » ven. avr. 08, 2005 2:40 pm

BONJOURS ! !
pas grand chose a redire , pour ce qu a dit ummite .
pour tes envies , c est benefique a l humanité , alors ne t arretes surtout pas en si bon chemin :D , meme si les nouvelles journaliere ne sont pas tres bonnes , se sont les pires qui sont les plus vendues et pas les bonnes :( .
c est vrai qu on ne parle que peu des BONNES NOUVELLES car souvent trop socials ou altermondialistes .
MAIS , pour finir et surtout , pour ce qui est de mon avis , nous sommes sur terre pour nous occuper de nous .
pas de notre enrichisement ou de notre bien etre , mais de notre élevement spirituel .
attention , l université cultive , mais ne rend pas plus inteligent :lol: .
meme si nous pouvons aidez , voir devons , nous restons faible et instable , c est pourquoi , il faut s orienter vers unephilosophie ou une religions , voir simplement un maitre spirituel .
( attention les arnaques et les derives ) ! .
afin de connaitre les methodes qui permettes une avance raisonable dans l evolution .
mais c est pas une obligation , mais juste un conseil .
car on a tout en nous et nous sommes capable de faire beaucoup avec de la bonnes volonté et de l amour .
A+


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