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Rien ne change. La société civile tunisienne et internationale à beau relever l’énorme paradoxe qui subsiste dans l’organisation du SMSI (Sommet Mondial sur la Société de l’Information) de Tunis en novembre 2005, le régime politique autoritaire et liberticide de Zine Abidine Ben Ali ne rencontre que bien peu de réticences de la part de l’ONU. L’homme qui censure systématiquement la presse tunisienne et ses- de plus en plus nombreux- détracteurs, en profite pour récupérer cet événement comme étant gage de la confiance internationale. Qui aujourd’hui peut vraiment prétendre méconnaître les méfaits d’une censure omniprésente dans un pays dont le miracle de ...